2016 : les bons comptes...

En direct de la rédaction : les chiffres viennent de tomber. C’est avec une certaine fébrilité que nous les découvrons en même temps que vous, chers lecteurs et chères lectrices, les résultats tant attendus. Voilà… Momo Brücke nous en fait la lecture à haute voix. Le comité de rédaction est pendu à ses douces lèvres. Hervé, le sourire en coin, semble les connaître déjà… Le suspense est haletant… Alors, alors… Virginie, notre vaillante diffuseuse en kiosque, nous livre le bilan de 2016 : on note une légère baisse des ventes en kiosque par rapport à 2015 (-9,5%) – ce qu’il faut relativiser au regard de la conjoncture actuelle des titres de presses d’opinion et d’info qui chutent de plus de 50% ! Pour rappel, 2015, « année Charlie » avait été particulièrement faste. En revanche, notre chiffre d’affaires a bondi de 8,4% ! Une croissance de notre richesse qui dépasse celle du PIB de la Chine ! De l’Inde ! Boom ! Par quel miracle ? Le passage à 24 pages et 4 euros qui ont rendu notre modèle économique viable. Alors, champagne ? Pas vraiment encore dans nos moyens, Clairette plutôt. Et surtout, si financièrement nous sortons la tête de l’eau, nous ne faisons pas ce journal pour la thune mais pour qu’il soit lu, diffusé, partagé, commenté, aimé ou haï ! Alors, pour nous, 2017 sera l’année des nouveaux horizons, des nouvelles rencontres, du porte-à-porte et du… Mais bordel, continuez à lire la presse papier avant qu’elle ne disparaisse dans les méandres de l’histoire !

Carnet rose : Nous saluons la naissance du petit Ernesto, très en avance sur son temps, souhaitons un bon rétablissement à sa maman et plein de bisous bisous aux parents, amis et grand frère !

Cet article fantastique est fini. On espère qu’il vous a plu.

Nous, c’est CQFD, plusieurs fois élu « meilleur journal marseillais du Monde » par des jurys férocement impartiaux. Plus de vingt ans qu’on existe et qu’on aboie dans les kiosques en totale indépendance. Le hic, c’est qu’on fonctionne avec une économie de bouts de ficelle et que la situation financière des journaux pirates de notre genre est chaque jour plus difficile : la vente de journaux papier n’a pas exactement le vent en poupe… tout en n’ayant pas encore atteint le stade ô combien stylé du vintage. Bref, si vous souhaitez que ce journal puisse continuer à exister et que vous rêvez par la même occas’ de booster votre karma libertaire, on a besoin de vous : abonnez-vous, abonnez vos tatas et vos canaris, achetez nous en kiosque, diffusez-nous en manif, cafés, bibliothèque ou en librairie, faites notre pub sur la toile, partagez nos posts insta, répercutez-nous, faites nous des dons, achetez nos t-shirts, nos livres, ou simplement envoyez nous des bisous de soutien car la bise souffle, froide et pernicieuse.

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Merci mille fois pour votre soutien !

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