Dix years after
« Alors CQFD ! Vous êtes blindés de thunes ? » entend-on régulièrement depuis notre fameux appel aux dons. Remarquable ! Chères et chers lectrices, lecteurs, contributueuses et tueurs, généreux fileurs de coups de mains, donateurs et légatrices, expéditeurs et trices de chèques et biftons, collègues de la presse indépendante (sauf Edwy Plenel), nous pouvons vous dire que, à l’heure qu’il est, nous avons atteint le quart de notre objectif pharaonique. Tout cela devrait nous permettre de respirer un peu et de voir venir. Jusqu’à quand reste une question entière, tant est grande la précarité de l’exercice de la presse. Et pas seulement du point de vue de l’argent.
Dix ans, donc, maintenant que votre mensuel débat et se débat. Dans le prochain numéro nous reviendrons, avec un supplément de huit pages, sur cette décennie avec l’intention et la nécessité de continuer à témoigner sur ce qui nous et vous enrage, mais aussi sur les possibilités d’expérimenter d’autres modes sociaux. Le culte de l’argent et la passion du pouvoir, et les dégâts qu’ils occasionnent, n’ont pas fini d’entendre parler de nous tous…
PS : un grand merci à La Décroissance pour son clin d’œil du mois de mars.
Cet article fantastique est fini. On espère qu’il vous a plu.
Nous, c’est CQFD, plusieurs fois élu « meilleur journal marseillais du Monde » par des jurys férocement impartiaux. Plus de vingt ans qu’on existe et qu’on aboie dans les kiosques en totale indépendance. Le hic, c’est qu’on fonctionne avec une économie de bouts de ficelle et que la situation financière des journaux pirates de notre genre est chaque jour plus difficile : la vente de journaux papier n’a pas exactement le vent en poupe… tout en n’ayant pas encore atteint le stade ô combien stylé du vintage. Bref, si vous souhaitez que ce journal puisse continuer à exister et que vous rêvez par la même occas’ de booster votre karma libertaire, on a besoin de vous : abonnez-vous, abonnez vos tatas et vos canaris, achetez nous en kiosque, diffusez-nous en manif, cafés, bibliothèque ou en librairie, faites notre pub sur la toile, partagez nos posts insta, répercutez-nous, faites nous des dons, achetez nos t-shirts, nos livres, ou simplement envoyez nous des bisous de soutien car la bise souffle, froide et pernicieuse.
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Cet article a été publié dans
CQFD n°110 (avril 2013)
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Paru dans CQFD n°110 (avril 2013)
Dans la rubrique Ça brûle !
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Mis en ligne le 16.04.2013
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Dans CQFD n°110 (avril 2013)
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19 avril 2013, 14:03, par Jonas Hopp
Peut être faudrait commencer par répondre aux mails qu’on envoie pour espérer des nouveaux abonnés. J’ai envoyé un mail le 9 février à abonnement@cequilfautdetruire.org et toujours pas de réponses.. ?!
J’apprécie le journal, mais si on ne peut pas s’abonner sur internet il va m’etre difficile de convaincre quelques foyers.. Simplifiez les procédures et ça ira peut-être un petit peux mieux.